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Eglise bâtie au début du XVIème, en 1519. Elle reçoit la visite, plus tard de Louis XIII, venu témoigner sa reconnaissance pour la naissance de Louis XIV.

On date cet édifice religieux du XIVe siècle mais selon Arcisse de Caumont, il aurait été en grande partie refait postérieurement. Les ouvertures sont remaniées au XVIe siècle tandis que l’on peut faire remonter la construction de la façade occidentale actuelle au XVIIIe siècle grâce à une inscription datée de 1766. L’église est restée abandonnée tout au long du XIXe siècle. Elle est inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques en 1975 et des travaux de restauration sont entrepris dans le dernier quart du siècle suivant par une association de sauvegarde présidée par le maire de la commune : la charpente, la toiture les tableaux et bancs d’époque sont alors restaurés grâce à de nombreux dons et subventions.

L'église est construite sur un ancien temple qui est dédie à Minerve. L'emplacement va être occupée par des religieuses en 1033, puis il va y avoir plusieurs périodes de destructions et de reconstructions. En 1060 l'édifice est rattaché à l'Abbaye Saint Victor. Il va être encore démoli sous la revolution car il abritait des reunions politique. Elle fut reconstruite sous la monarchie de Juillet. Aujourd'hui il n'en reste que le clocher, ce dernier est classé monument historique en 1964.

Edifiée en 1488, cathédrale en 1590, l'église est entièrement reconstruite de 1604 à 1625 (aucun vestige de l'ancien édifice). Edifice à trois vaisseaux de cinq travées (voûte centrale en berceau, vaisseaux latéraux voûtés d'arêtes). Murs décorés de stucs et de peintures aux XVIIIe et XIXe siècles. Autels en marbre polychrome. Façade occidentale réalisée vers 1660-1670, présentant un décor baroque directement issu de la tradition gênoise. Elle est à deux niveaux surmontés de trois frontons. Clocher carré construit contre le côté sud de l'abside, terminé en 1620. Façade et clocher restaurés à la fin du XIXe siècle et en 1938. Consolidation du support des cloches en 1940. Réfection des enduits, moulures, fresques et peintures murales en 1955. Consolidation de la sacristie en 1961. Restauration de la façade ouest et du clocher en 1996-1999. Restauration des façades latérales et de l'abside en 2002-2004.

L'érection de cet édifice a été vivement soutenu par le curé de la paroisse, l'abbé Marcel Marie, qui a suggéré à Perret de reprendre les plans de son projet de 1926 pour une basilique Jeanne-d'Arc. Ce dernier se souviens des paroles de Perret : "Vous voulez que votre église soit belle. Vous voulez aussi qu'elle soit aimable. Alors, il faut confier les vitraux à une femme". C'est ainsi que la vitrailliste Marguerite Huré s'est chargée de concevoir les vitraux de Saint-Joseph.

L’église de Montsalvy qui dépendait de l’abbaye Saint Géraud d’Aurillac, date de la seconde moitié du XIe siècle. Elle constitue le vestige principal de ce qui fut au Moyen-Âge l’une des plus importantes abbayes de la région qui nous surprend encore par ses dimensions inhabituelles.

Edifice mentionné dès le XII ème siècle, mais la première chapelle sera détruite par un rocher tombé de la falaise au XVème siècle. Le site sera entièrement restauré à cause de son état de délabrement, au XIXème.

Construction datée du XIIIème siècle, en 1252, après transfert de la basilique médiévale de l'autre côté de la rive. La révolution épargne l'église, qui sera transformée d'abord en Temple de l'Etre Suprême, puis en magasin à fourrage. Le clocher est sauvé de la démolition, par le placement d'une statue de la déesse à son sommet.

Eglise dont la nef date du XIIIème, le transept sud date du XIII-XIVème, le reste de l'édifice, à l'exception du chevet, date du Xvème. Le chevet est le plus récent, et date du XVIème. Restaurée en 1948 et 1957, après avoir été à 80% détruite par les bombardements .

Chapelle romane accolée au cimetière du village, qui abrite une superbe Vierge à l'enfant.