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Eglise bâtie au XIIème puis agrandie au XVIème.

Eglise comptant parmi les très rares édifices gothiques de Haute-Auvergne qui conserve une tour de clocher romane.

La première pierre est posée en 1824. La réalisation est confiée à Jean-Baptiste Lepère et repris en 1831 par son genre Jean-Ignace Hittorf. Les travaux sont ralentis par le Révolution de 1830 mais l’église est finalement consacrée en 1844. La chapelle de la Vierge est construite entre en 1869 et 1870. C’est Napoléon III qui offre la sculpture de la Vierge réalise par Carrier-Belleuse.

Eglise entièrement rebâtie en 1358 suite à un incendie. Agrandie au Xvème, c'est au XVIème qu'elle adopte réellement son apparence actuelle.

Bâtie en pierres de tailles, c'est un petit édifice largement remanié et rénové au cours des siècles : en témoignent le clocher, le chœur et le dessous du clocher, voûtés au XVIe siècle.

Edifiée au XIIIème siècle l’église était, selon toute vraisemblance, la chapelle du château. Au XVème siècle, elle subit de profondes modifications, avec notamment l'ajout de 4 chapelles.

L’église Sainte-Anne a été construite en 1845 sur une colline appelée « le Calvaire ». Elle comprend 800 m2 de fresques étonnantes réalisées en 1956 par Nicolaï Greschny, peintre estonien.

La première église, détruite suite à l'invasion anglaise de 1419 se dressait à l'emplacement de l'actuelle église du XVème. Une nef est ajoutée au XVIème. Au XIXème l'église subit de nouvelles modifications, sous la direction de Viollet-le-Duc.

L’église Sainte-Catherine est liée à l’histoire de Notre-Dame-de-la-Treille, sainte patronne de la ville de Lille. La statue avait été sauvée de la destruction de la collégiale Saint-Pierre, et fut abritée pendant un temps à l’église Sainte-Catherine. L’édifice, dans son état actuel, fut rebâti au XVe siècle et au début du XVIe, puis remaniée à la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècle.

Edifice bâti au XIIIème siècle par l'un des Vicomtes d'Aubusson pour abriter un fragment de la croix du Christ. Il résulte dans son état actuel d’une reconstruction au XVIIe s., suivie de reprises et d’agrandissements aux XVIIIe et XIXe siècles