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Eglise du XII ème, l'une des seules à Salles-la-Source à n'avoir subit presque aucun remaniements ni destruction.

Les travaux commenceront très lentement en 1447. La consécration de l’église est effectuée le 15 janvier 1542 par Barthélemy Portolenqui, évêque de Troyes, alors que la nef n'est couverte que d'une simple charpente de bois.

L'église Saint-Amé a été construite en 1875 et dédiée à Saint Amé, patron d'Amé Tilloy, fondateur de la Compagnie des Mines de Lens. L'église a été construite pour les ouvriers de la fosse n°3 des mines de Lens et leurs familles. Détruite pendant la première guerre mondiale, elle a été reconstruite sous sa forme actuelle en 1934-35. Depuis 2008, l'église est célèbre pour sa série de vitraux figuratifs modernes qui évoquent la vie des mineurs de Liévin.

L'église paroissiale Saint-André existait depuis le XIII e siècle mais était située au rempart Saint-André. Endommagée par des obus lors du siège de 1708 par l'armée impériale, elle est finalement détruite en 1784. On utilise alors la chapelle du couvent des Carmes déchaussés, Notre-Dame du Mont-Carmel, rebaptisée plus tard en église paroissiale Saint-André.

Implantée sur des fondations antiques, cette ancienne église est construite au XIe ou au XIIe siècle. D’époque romane, orientée, sa datation est imprécise car les archives du diocèse de Bourges auquel elle était rattachée, ont brûlé lors de l’incendie de 1871. Depuis 1981, l’association des Amis du Vieux Taxat, aujourd’hui propriétaire des lieux, a entrepris sa restauration de l'église désaffectée.

Construite à partir du XIIe siècle, c’est une des plus anciennes églises de la cité avec la cathédrale Saint-Pierre toute proche. Sérieusement endommagée durant la guerre de Cent Ans, une grande campagne de modernisation est mise en œuvre dans la seconde moitié du XVe siècle.

L’église Saint-André a vraisemblablement été fondée par Marguerite et Antoine de Rochefort d’Ally. L’existence officielle du bâtiment apparaît en 1141 dans l’acte de fondation du prieuré de Rochefort par Géraud de Rochefort d’Ally.

De la basilique romane du XIIe siècle, ancien prieuré de l'abbaye bénédictine de Nanteuil, sont conservés la façade occidentale, classée monument historique en 1903, et le portail sud avec ses colonnes engagées. Beaucoup de zones d'ombre subsistent sur son histoire : ravagée par un incendie en 1415, l'église connut plusieurs campagnes de reconstruction au cours des XVe, XVIe et XVIIe siècles.

En l'an 950, un édifice religieux (une église ou un baptistère) dédié à saint Austremoine, est dépendant du prieuré d'Issoire. Si l'église date surtout des XIIe et XIIIe siècles, elle conserve quelques éléments du Xe siècle. Son clocher-porche, bien plus récent, date de 1818.

Cette église consacrée à saint Austremoine, premier évêque d’Auvergne qui évangélisa la région, faisait partie du monastère de Saint-Austremoine et fut construite par l'abbé Gilbert, puis consacrée en 938 par Bernard, quarante-cinquième évêque d'Auvergne. L’église actuelle date de la fin du XIe et du début du XIIe siècle, vraisemblablement vers 1130.