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Eglise édifiée à l'initiative d'Anne de Beaujeu, fille de Louis XI, régente du royaume et vicomtesse de Carlat. La construction est entreprise de 1503 à 1522.

Mentionnée dès le XIIe siècle, l'église est totalement reconstruite à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle, suite aux dégâts de la Guerre de Cent Ans.

Edifiée du XI ème au XVIII ème, avec aménagements en 1860.

L'église fut construite à la Restauration dans le style des basiliques romaines. A son emplacement s'élevait aupravant un couvent contruit pour les Bénédictines du Saint-Sacrement. C’est Étienne-Hippolyte Godde qui reçoit en 1826 la commande par la ville de Paris de construire à cet emplacement l’église actuelle. La première pierre est posée le 15 septembre 1826 : une médaille du graveur Ursin Vatinelle, portant l'effigie de Charles X et le dessin de la façade projeté, commémore l'événement.

L'église fut édifiée à partir de la fin du XIIIe siècle, sur une ancienne église détenue par les Templiers. Elle était au cœur d'un ancien couvent dominicain, aujourd'hui disparu. L'église présente des éléments de style gothique, bien que la sobriété de son aspect extérieur rappelle l'architecture romane. La présence d'éléments de style gothique est particulièrement rare en Corse. Il s'agit en fait d’un style français importé par les ordres religieux. C'est aussi l'église la plus vaste de l'île.

L'église Saint-Édouard, connue localement sous le nom d'église du 12, a été construite de 1899 à 1901 dans la nouvelle ville minière, à la périphérie de la fosse n° 12 des mines de Lens, qui a commencé à fonctionner en 1894. L'église est dédiée à Saint Edouard, patron d'Edouard Bollaert, directeur de la compagnie minière de Lens pendant quarante-deux ans.

La nef est romane et date autour de 1120, et le chantier s'étale finalement jusqu'au siècle suivant. Le transept, également roman est légèrement plus ancien, tandis que les fenêtres hautes et la voûte de la croisée ont été reconstruites au XVIe siècle.

L'édifice, dont les plus anciennes parties remontent aux 12e et 13e siècles, semble avoir été remanié à la fin du 15e à la suite d'une destruction violente, et a subi depuis quelques modifications.

Le patronage de cette église appartenait au chapitre cathédral de Limoges. Louis d’Aubusson, chevalier de St jean de Jérusalem, commandeur de Charrières et Gentioux, y fonda une vicairie avec un chapelain pour la desservir en 1468.

Première mention en 1017-1025. La reconstruction est engagée au XVIème par l'abbé de Fécamp. Elle prend feu en 1563. Elle sert entre temps de caserne, puis de prison. Au XIXème suite à la désignation d'église paroissiale, des travaux sont entrepris.