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Situé sur des vestiges romain, la construction de la Cathédrale débute au XIIème siècle et ne s'achève qu'au XVIème.

L'édifice actuel voit sa construction débuter en 1282, et fait suite à plusieurs édifices plus anciens, dont une cathédrale romane dont il reste des traces. Son édification dure jusqu'en 1480. Ses 18 000m² de fresques peintes en font la plus grande cathédrale peinte d'Europe.

La cathédrale est bâtie sur une ancienne église carolingienne, elle-même sur un temple gallo-romain. L'édifice actuel comporte quelques éléments remontant au XI et XIIème siècle, mais l'essentiel de l'édifice est daté du XVII ème période à laquelle Louis XIV crée le Diocèse d'Alès pour combattre les huguenots.

L’ensemble est actuellement en ruines mais restent des parties des églises Saint-Pierre et Notre-Dame. L’abbaye de Jumièges fut fondée en 652 par saint Philibert. Suite aux invasions normandes au IXe, les moines bénédictins repeuplèrent l’abbaye à la fin du Xe, puis Guillaume de Volpiano réforma l’établissement. L’abbatiale Notre-Dame fut consacrée en 1067 et son choeur en chantier au XIIIe. L’église Saint-Pierre mêle pré-roman (début de la nef) et gothique (reste de la nef et choeur).

Abbaye bénédictine fondée en 1168 par un chevalier. Les bâtiments conventuels viennent d'y greffer entre le XIIIème et le XVIIIème siècle. Elle ferme finalement en 1781, puis sert de réserve agricole et de carrière avant d'être classée en 1915.

L'Abbaye est édifiée au XII ème, et des ajouts se font petit à petit entre le XIII ème et le XVII ème.

Une basilique funéraire mérovingienne est élevée sur ce site autour des VIe et VIIe siècles et rénovée à l'époque carolingienne. Le prieuré royal de Saint-Martin-des-Champs, troisième fille de Cluny, est fondé en 1060 et un nouveau bâtiment est construit sur cet emplacement présumé d'un miracle de saint Martin. Le plan original du chœur inspira probablement celui de la basilique Saint-Denis construite quelques années plus tard, l'église du Conservatoire constituerait le plus ancien témoignage du gothique parisien. L'abbaye est décrétée bien national en 1790 et abrite depuis 1798 le nouveau Conservatoire des Arts et Métiers créé par l'abbé Grégoire en 1794 dont l'ancienne abbatiale désaffectée au culte sert de salle d'exposition pour son musée. L’ensemble a été largement réaménagé sous la Monarchie de Juillet et sous le Second Empire, sous la direction de l’architecte Léon Vaudoyer. Le pendule du Foucault a été installé dans le choeur.

L'immense église abbatiale du XVIIIe siècle est devenue en 1804 la nouvelle cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Vaast d'Arras en remplacement de l'ancienne cathédrale gothique Notre-Dame-en-Cité de l'ouest de la ville qui fut détruite, et depuis 1825 les vastes bâtiments conventuels de l’abbaye abritent le musée des Beaux-Arts d'Arras.

D'après la tradition l'abbaye fut fondée sous le nom de Saint-Vincent en 589 par la reine Brunehaut. L'abbaye connaaît plusieurs destructions dans son histoire, la dernière ayant lieu au XIXe siècle.

La cathédrale carolingienne fut consacrée en 800 en présence de Charlemagne. Au XIe siècle, l’évêque Elinand appuie la reconstruction d’un nouvel édifice, inauguré le 25 décembre 1071. Cependant, l’édifice actuel fut érigé à l’initiative de l’évêque Gauthier de Mortagne, et sa construction s’étala de 1155 aux alentours de 1235-1238. De plus, 27 chapelles furent érigées au XIVe siècle, et ces modifications eurent notamment lieu jusqu’au XVIe siècle, puis aux siècles suivants.