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La basilique fut construite sur la tombe de saint Denis et fut le lieu de sépulture des rois de France dès la mort de Dagobert en 639. Dès 1135 et même avant, l’abbé Suger entreprend la reconstruction de l’église carolingienne. La façade harmonique, témoin du nouveau gothique, est dédicacée le 9 juin 1140 et le chevet est consacré en 1144. Le tout fut achevé au XIIIe siècle à l’époque de Saint-Louis.

Edifice bâti entre 1840 et 1844, faisant suite à un premier édifice détruit par les troupes de Charles de Téméraire au XV ème siècle.

La basilique actuelle, placée sous le vocable de Notre-Dame, fut construite au XIXème siècle sur les ruines d'un édifice médiéval. L'édifice repose sur l'une des plus vastes cryptes de France (100 mètres de long pour une superficie de 1400m²), aménagée pendant le chantier de construction sur les fondations de la crypte romane.

La basilique de Vézelay était originellement une abbatiale, lieu de passage des routes de Compostelle. Elle est sous le patronage de Marie-Madeleine depuis 1150. Alors qu’une communauté monastique est attestée sur les lieux depuis le IXe siècle, et que l’édifice primitif connaît un incendie en 1120, l’édifice actuel fut construit dans les années 1120-1150 pour l’état roman. Le choeur fut reconstruit dans la seconde moitié du XIIe siècle dans un style du premier gothique bourguignon.

L’église fut dessinée par Paul Abadie en 1874. L'intérieur de la nef est inauguré en 1891. L’ensemble de la façade est achevé en 1914. La consécration est officialisée le 16 octobre 1919. L'église est alors érigée en basilique mineure. Le bâtiment est officiellement achevé en 1923 avec la finition de la décoration intérieure. Paul Abadie dirigea le chantier jusqu'à sa mort en 1884. Lui succéderont plusieurs architectes, dont Lucien Magne.

L'érection de cet édifice a été vivement soutenu par le curé de la paroisse, l'abbé Marcel Marie, qui a suggéré à Perret de reprendre les plans de son projet de 1926 pour une basilique Jeanne-d'Arc. Ce dernier se souviens des paroles de Perret : "Vous voulez que votre église soit belle. Vous voulez aussi qu'elle soit aimable. Alors, il faut confier les vitraux à une femme". C'est ainsi que la vitrailliste Marguerite Huré s'est chargée de concevoir les vitraux de Saint-Joseph.

L'église voit sa construction débuter en 1356, et s'achever au XVIème. Un incendie au XVIIIème entraîne une reconstruction du choeur, du transept et du clocher.

La construction de cette église débute au XIVème siècle, à la place d'une chapelle érigée un siècle plus tôt. Elle connaît des phases de reconstructions dans les siècles suivants, avant d'être agrandie au XVIème. En 1950, elle devient basilique sur préconisation du nonce Angelo Roncalli, qui deviendra Jean XXIII.

Edifice bâti à la fin du XIXème siècle, face à l'impossibilité d'accueillir les nouveaux citoyens. Très inspiré par le style byzantin.

L'église est la plus grande église romane de Haute-Auvergne depuis la destruction de l'abbaye Saint-Géraud d'Aurillac. L'édifice est reconstruit au XIIe siècle à l'emplacement d'une chapelle dédiée à sainte Théodechilde.